C’est Edouard Hyppolite, le deuxième mari de ma grand-mère Augusta, qui acheta cette « Campagne » pour s’y installer plus tard avec sa nouvelle femme, et avec Louis et Fernand. Le cadastre désignait autrefois comme « Campagne » une petite exploitation agricole (vinicole ici) incluant la maison des exploitants et les terres attenantes. Elle était située entre La-Seyne et Six-fours, dans la plaine en bordure de la forêt de Janas et au pied de la montagne du Mai. En fait c’est ce quartier de (…)
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La campagne des Moulières
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Le tour du propriétaire
3 mai, par Gihelpe -
Notre enfance à la campagne
2 mai, par GihelpeMarino se souvient que le soir, accoudée au fenestron de la chambre avant de se coucher, elle imaginait, en grande romantique qu’elle était, voir arriver de loin celui qui serait un jour son mari !! Elle n’avait que 12 ans ! Il faut dire qu’elle lisait pendant des heures dans le fauteuil de la véranda avec le chat sur les genoux, les romans-photos à l’eau de rose de la grand-mère, au grand désespoir de notre père !
Quand Bernard et ma mère revenaient de Luchon, on restait encore à la (…) -
La période Jazz
1er mai, par GihelpeLa maison restant inoccupée, mon oncle Tony proposa de la leur louer pour y jouer de la musique occasionnellement le samedi soir avec son Doctors’ Jazz Society. L’endroit, très isolé, était idéal avec aucun risque de déranger les voisins. Beaucoup d’artistes connus et de personnalités locales y sont passés et la Campagne a ainsi connu son heure de gloire ! J’y allais assez souvent, amené par mon oncle Tony. J’adorais cette ambiance de club de Jazz parisien avec beaucoup de monde, de bruit et (…)