C’était donc la soeur d’Henri le syndicaliste. Née à Marseille, elle est restée célibataire. Elle était domestique de profession.
Tony raconte :
"Tous les vendredis, notre vieille tante Augustine venait passer la journée à la maison pour aider à raccommoder le linge. Et chaque vendredi, ma mère lui préparait l’aïoli traditionnel que je détestais cordialement. La vieille tante appréciait, tandis que je mangeais deux œufs au plat."
Plus tard, devenu adulte, Tony prend son courage à deux mains et aide quand même parfois sa mère à faire la rouille pour la bouillabaisse !
